Quand j'ai voulu
commencer des études à la fac, j'ai dû quitter le domicile
familial – trop éloigné. J'avais droit à une bourse, échelon
maximal, et pourtant les loyers étaient si élevés (même en vivant
en couple) que j'ai cherché un job. J'ai eu « de la chance »,
j'ai trouvé rapidement un emploi de caissière (j'aime pas dire
« hôtesse de caisse » et essayer de cacher la misère).
C'était à temps partiel pendant les périodes de cours, et à temps
complet pendant les vacances : j'ai dit oui. J'y ai passé trois
ans tout pile, le temps de terminer ma licence.
jeudi 29 août 2013
Daniel Mermet ou les délices de « l’autogestion joyeuse »
Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp. Mais quand
l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de
gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du
patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux.
Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y
suis », l’émission culte de France Inter.
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